Adolescence difficile : portrait de Jena Lee

Jena Lee

Fille d’une vietnamienne et d’un chinois. Elle est brune avec quelques mèches violettes ou roses. Elle est plutôt gothique, elle semble renfermée, elle invente plusieurs de ses textes, et elle se dévoile dans d’autres.
Elle chante : « J’aimerais tellement, Je me perds, Banalité, Du style, Victime idéale, Redeviens toi-même, Je préfère, Dépendance, Je rêve en enfer »... Quand on nous parle de Jena Lee, on pense tout de suite à « Je me perds ». Cette chanson nous attire car elle parle du suicide, et dans ses paroles elle nous dit qu’elle « se perd, qu’elle ne se retrouve pas ».
Elle dit quelle admire Britney Spears. Elle a écrit « Banalité » à 15 ans, ce qui lui a permis de signer à 18 ans dans une maison de disque.
Elle pense avoir fait du mal à ses parents adoptifs. Elle était une adolescente difficile, elle criait sur ses parents. Elle dit qu’elle était insupportable et qu’elle avait l’impression d’être incomprise. Elle s’enfermait dans sa chambre pour composer et personne ne savait ce qu’elle faisait.
Ce qui nous touche dans son parcours, c’est que, quelque part, ses disputes avec ses parents, ses pensées d’adolescentes ressemblent à notre vie.
Quand ses parents ont écouté « Vous remercier », ils ont pleuré et elle aussi.

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